La horde sauvage, des cinéastes rebelles et des films mordants
FRANCE | 81 minutes | 2015
En forêt, Gérard Depardieu s’est perdu. Il a faim. Il grogne. Bientôt, il hallucine et angoisse sérieusement. Nous aussi !PREMIÈRE NORD-AMÉRICAINE« À eux deux, (Gérard Depardieu et Guillaume Nicloux) tissent, comme on l'a rarement fait à l'écran, l'étoffe des rêves. » Le monde « Cette balade de perdition est évidemment incarnée ô combien par Depardieu, qui est non seulement un corps et une voix, mais aussi un film, un paysage, une histoire, un morceau d’humanité à lui tout seul. » Les inrockuptiblesNul doute, le travail de Guillaume Nicloux (Valley of Love, L’enlèvement de Michel Houellebecq, prix du jury Temps 0 2014) tient de la magie, avec des films en forme de tour de force que n’importe qui raterait, mais que lui réussit brillamment. Ici, Depardieu est quasiment toujours seul. Un corps (peut-être déjà mort ?) dans la nature qui hurle et geint, lors d’une errance fantomatique où la drôlerie vire tranquillement au malaise, tendance Lynch. Un film expérience à voir absolument sur grand écran. (Julien Fonfrède) “The End is a gripping arthouse puzzler in which Depardieu shines. Nicloux's gradually mounting tension will leave you feeling shaken and thoroughly unsettled.” Culture FixPrécédé de RHAPSODY (Constance Meyer) FRANCE | 16 MINUTES | 2015 (avec : Gérard Depardieu, Guillaume Nicloux)
Dans le cadre de THE END
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