La horde sauvage, des cinéastes rebelles et des films mordants
JAPON | 108 minutes | 2016
Je cogne donc je suis. Comme un Fight Club baigné dans la psychopathologie sur le malaise d’une génération. Angoissant.PREMIÈRE NORD-AMÉRICAINE « … la violence des jeunes qui rêveraient de l'époque féodale des samourais ou d'un remake japonais d'"Orange mécanique. » LibérationProblèmes comportementaux obligent, un jeune fuit sa ville. Partout, il cherche (et trouve) la bagarre. Furieusement, gratuitement, librement, il frappe. La situation deviendra plus troublante encore, dès lors qu’il en inspirera d’autres… Star montante d’un jeune cinéma japonais n’ayant pas peur de déranger, Tetsuya Mariko vient de remporter le « prix du cinéaste émergeant » au Festival de Locarno. Son film coup-de-poing ne cesse de provoquer le malaise, abordant brutalement notre propre (et très sale) rapport à la violence. Une vraie découverte ! (Julien Fonfrède)
Meilleur cinéaste émergent - Cinéastes du présent - Locarno 2016
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